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On est tout.e.s déjà passé.e.s par là : cette peur panique qui nous étreint lorsque le miroir nous rend son verdict post-application d'autobronzant. « Je. Suis. Grillée. » Évidemment, à moins de 5 minutes de votre date tant attendu, sinon ça manquerait de piquant ! Pour vous éviter le pire, on a fait parler les filles de l’équipe : chacune nous a livré, sous le sceau de l’anonymat, son anecdote au goût de « plus jamais ça ! » … NE SURTOUT PAS suivre leur exemple !
La clé pour rester discrète, c’est l’uniformité. Pour l’atteindre, nous vous recommandons de faire un gommage la veille de la première application, puis tous les 3 jours (pour le corps), ou tous les 7 jours (visage). Les mouvements doivent être circulaires, amples et délicats ; ce n’est pas parce qu’on appuie fort que le bronzage sera plus profond !
Astuce de pro >> N’insistez pas trop sur les talons, genoux et coudes, où la couche cornée, plus épaisse, se verra brunir de façon plus prononcée.
« Bah, t’en as pas mis sur les pieds ? » « Non, j’ai fait l’impasse, je portais des tennis hier ! » No comment… Un peton tout blanc au bout d’une gambette dorée, vous êtes démasqué.e illico ! Autre extrémité piégeuse : les mains. Pour éviter paume orange et intérieur des doigts tout blancs, bien se laver les mains après application. Et, si vous optez pour un « autobronzage » intégral, alors, repassez du produit sur vos mains, en massant bien entre chaque doigt.
De même qu’avec la poudre de soleil, on ne néglige surtout pas le cou à l’application de l’autobronzant. Bref, tout ce que vous seriez susceptible d’oublier, cette fois, il est crucial d’y penser !
Spoiler alert : en 2019, on ne tourne plus à l’orange fluo après une seule application d’autobronzant (en tout cas, pas de ceux ultra pointus et progressifs que vous retrouverez sur notre e-shop). Il faut même faire preuve d’un minimum d’assiduité pour des résultats satisfaisants. Ne désespérez donc pas si la première application n’est pas à la hauteur de vos espoirs. Recommencez le lendemain, puis le surlendemain, et ainsi de suite jusqu’à ce que ça prenne – comptez une petite semaine.
Ne lésinez pas sur le lait ou la crème hydratante en parallèle de l’autobronzant. Le top rythme serait : soir, autobronzant / matin, lait hydratant. Ainsi, votre peau sera encore plus perméable au principe actif de l’autobronzant et les résultats ne s’en feront sentir que plus rapidement.
Astuce de pro… >> … pour ne pas virer carotte : Certes, bronzer demande de la persistance, mais point trop n’en faut ! Une fois votre objectif atteint, STOP. Le « plus » tourne facilement au « trop » en ce domaine.
Vous ne l’êtes absolument pas, croyez-en notre expérience… douloureuse ! Le « bronzage » généré par l’application d’un autobronzant ne résulte pas du même processus que celui issu d’une exposition au soleil. Ce dernier est une réaction intrinsèque à l’épiderme, qui produit de la mélanine en quantité pour mieux se défendre contre les rayons UV. L’autobronzant, lui, colore la peau de manière superficielle, grâce à deux principes actifs que l’on retrouve dans la plupart des formulations d’aujourd’hui : la DHA et/ou l’erythrulose. Le brunissement engendré est donc une réaction exogène et éphémère, et non une barrière de protection érigée par la peau.
Alors, pour échapper aux coups de soleil, on se tartine de crème solaire et on ne s’expose pas entre midi et 16h, entre autres recommandations spéciales été.
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