Les Fleurs du Déchet - I Am a Trash
Eau de Parfum Mixte

Vous devez être connecté
Envoi rapide et soigné
Livraison offerte dès 49€
Livraison prévue à partir du 26/11/2024

Paiement en 3X ou 4X avecet  

Notes olfactives
ingredients
Voir la gamme
Description

Les Fleurs du Déchet - I am a Trash : une inspiration lointaine

Je suis par ma mère fils de la côte oubliée, loin là-bas en Nouvelle Calédonie, où les Borindi qui vivent à l'embouchure de la Ngoye savent depuis le crépuscule des Dieux les grands principes de l'harmonie avec la nature en prélevant sur elle pas plus que le nécessaire tout en préservant demain. Ils sont en cela l'avenir de l'homme et guident ainsi nos premiers pas dans ce nouvel opus de l'Etat Libre d'Orange à l'ombre des niaoulis et des jacarandas en fleur. Il y avait à l’aube des années 2000, (avant d’aller tous les soirs avec eux visiter des décharges pour qu’ils soient bien barrés) quand ils étaient encore petits et moi jeune trentenaire plein d’espoir conquérant, un film d’animation sf que je passais à mes enfants et qui s’appelait « The Titan Project ».

Une eau de parfum pleine de sens

Il y a entremêlée aux Fleurs du Déchet un peu de cette poésie SF romantique et titanesque qui procède de la bascule lente, certaine et nécessaire pour réinventer par nos déchets le cycle de toutes nos industries et d'essayer de faire du parfum un messager au service non seulement de la survie de l'espèce qui procède de la séduction mais surtout, suprême, au service de la planète où de nos propres miasmes doit rejaillir le beau. Les fleurs du déchet c’est le passage à l’âge adulte des sécrétions magnifiques, une tentative de contre révolution d’Orange pour 2018, tapageur toujours, mais enfin pensée utile. 

Une fragrance engageante

Givaudan, Ogilvy & l'Etat Libre d'Orange s'allient le temps d'un ménage à trois au service de l'Alma Mater pour lui faire un bouquet de pardon et tenter de faire savoir à tous, plus fort plus vite, qu’il est bientôt trop tard. Chers tous, ne jetez plus rien car au fond de nos poubelles se redistillent les ferments du grand amour ; il y a avant les camions à benne des fleurs de rocaille qui peuvent encore saigner, des écorces qui peuvent encore donner, des miasmes aux notes miellées à même le sol et plein d'autres concrétions flottantes que l’on jette à la mer et des exsudats aux symboliques mystiques des tribus primitives dont il faut maintenant reprocéder. 

« Cry my beloved planet » sur l’enfant qui n’est pas encore né, puisse t’il ne pas trop aimer cette terre qui s’en va... Alan Paton (distorted) 

Mettre à jour votre navigateur

Vous naviguez actuellement sur Internet Explorer

Si vous rencontrez un problème d'affichage sur notre site, cela est probablement lié à votre moteur de recherche. Il se peut que la version du navigateur que vous utilisez soit obsolète et que vous deviez la mettre à jour. Pour bénéficier d'une expérience de navigation optimale , nous vous invitons à mettre à jour votre navigateur.

Choisir un nouveau navigateur

Poursuivre sur Internet Explorer

Rester sur Internet Explorer