Alien Musc Mystérieux
Eau de Parfum
Alien Musc Mystérieux Eau de Parfum MUGLER
Alien MUGLER un parfum phare
Alien MUGLER est un parfum pour femme, né en 2005, 13 ans après Angel MUGLER, créé par Dominique Ropion et Laurent Bruyère. Depuis, c’est un incontournable de la parfumerie féminine. Cet opus a su nous séduire par ses notes Boisées Fleuries. C’est une fragrance mystérieuse qui, comme son nom l’indique, semble venir d’une autre planète. En 2017, Alien revient dans une déclinaison encore plus énigmatique avec Alien Musc Mystérieux.
La Nouvelle Séductrice au Tempérament Imprévisible, Alien Musc Mystérieux
Alien Musc Mystérieux reprend la même philosophie que son ainé, en incarnant une femme presque irréelle, venue d’ailleurs. Alien Musc Mystérieux nous plonge dans un univers parallèle et totalement irréel, il débute son voyage sur des notes très épicées composées d’un des ingrédients les plus luxueux au monde, le Safran. Son cœur sensuel s’envole ensuite sur une fusion de Fleur de Jasmin et de Bois de Cachemire, un mélange doux et généreux qui embaume nos sens. Enfin, cette Eau de Parfum pour Femme MUGLER achève son voyage sur des notes séductrices de Musc et de Vanille. Alien Musc Mystérieux semble être un trésor pour une femme sûre d’elle. Dominique Ropion est également le créateur de ce bijou parfumé, c’est un artiste à part entière qui possède un savoir-faire inégalé en matière de parfumerie.
L'Univers Alien Musc Mystérieux MUGLER
Le Flacon du Parfum MUGLER Alien Musc Mystérieux
Alien Musc Mystérieux est un jus inédit, pour autant, il conserve la silhouette de son aîné, le talisman. Il a délaissé sa couleur prune pour un dégradé allant de l’or blanc vers le doré, ces couleurs s’assemblant parfaitement avec les griffes d’or qui l’entoure.
Un Charme sans précèdent, Alien Musc Mystérieux
Alien Musc Mystérieux conserve son charme d’autrefois ainsi que son caractère précieux et son allure futuriste. Il représente parfaitement la gamme Alien et s’adresse aux femmes séductrices qui n’ont pas peur de l’originalité.
